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C'est arrivé à un moment précis, exactement à cet endroit, dans la constance de variations
Avec Cynthia Girard
(2020)

Sculpture exposée dans l'exposition Volonté de fer, Deschambault, commissarié par Carole Baillargeon

 

Aluminium, argent, arduino et micro-projecteurs.

Comment enterrer la Terre?
Avec Antoine Lortie
(2018)

Performance et exposition

CON+CIV est une start up qu'Antoine Lortie et moi-même avons lancé lors d'une soirée de performance avec Folie/Culture, Québec. La mission de la start up: enterrer la Terre et faire de ce projet le dernier de l'humanité pour répondre à la problématique suivante: comment allons-nous se souvenir de nous?

Nous proposons de mettre au point un projet de développement en trois phases: échantillonner la planète afin de constituer un sarcophage-musée autour de la planète, proposer une manière plus subjective d'écrire l'histoire du monde et faire de ce sarcophage le premier panneau publicitaire de l'espace.

J'ai traversé l'espace pour me retrouver face à moi-même. S4DP+ / phase 4
(2017)

Exposition à la Maison Tessier-dit-Laplante, Québec.

Installation sonore réalisée dans le cadre d'une résidence pour Canada 150.

http://sahb.ca/canada-150/

Mission Gal VL, quelque part à 107 244 km/h autour du soleil en solitaire.
24 heures. 6 h à 6 h. Une journée. Seul.
Distance parcourue: 2 573 656 kilomètres.
(2017)

 En transformant mon atelier en vaisseau spatial, je souhaitais établir une série de correspondances entre ces deux « laboratoires » qui sont le vaisseau et l’atelier : l’exploration et la découverte, la solitude, la répétition, la mauvaise alimentation, la fatigue, les habitudes, les délires, les doutes sur la « mission » et l’isolement qui font de ce lieu un « habitacle du grand voyage » tout autant qu’une prison du corps et de l’esprit.

Objets supraluminiques (2017)

Séries de photogrammes projetée sur plexiglass.

Traité de formes géométriques de l'hyperespace (2017)

Cet ouvrage porte un sous-titre si discret qu’il n’apparait pas, malgré la convenance, sous le titre. Je l’ai toutefois gardé en tête tout au long de la réalisation du traité et il demeure la principale raison d’être de ce projet : Partitions d’hyperobjets.

Sous la forme d’un catalogue de formes, ce traité de géométrie peut être parcouru comme un manuel de construction dont la matérialité et le sens sont différés ou comme une partition attendant d’être exécutée.

Je vois chacune de ces angulations comme un poème formel qui porte en lui un potentiel esthétique et technique; une source d’inspiration qui dépasse le mot ou la ligne, la phrase ou le plan, l’image ou le volume.

Cette première édition regroupe 150 formes harmoniques et présente des planches d’objets synchroniques, des captations d’objets supraluminiques et quelques photographies d’objets sympathiques.

Tout reste à construire et à développer. Ce traité ne circonscrit pas un savoir, il nous en montre la direction; un savoir lointain; un savoir évanescent, s’échappant aux yeux, aux mots et aux idées; un savoir qui s’apparente au regard que l’on porte sur les étoiles ou sur la quatrième dimension : le regard d’un aveugle.

(Avant-propos du Traité de formes géométriques de l'hyperespace)

Programme de découverte spatiale pour ceux qui mélangent les chiffres et la poésie / S4DP+ / phase 3 
(2017)

 Exposition de fin de maîtrise à la Maison Tessier-dit-Laplante.

 

Manif d'art 8 - Avec le collectif Gelato (2017)

L'expérience du passage. Oeuvre desobejctifiée. Surenchère. Kitsch. Consommation jusqu'à l'écoeurement. Le collectif Gelato célèbre l'art de la Joie.

Manif d'art 8 - Autre commissariat
S4DP+ / phase 2

Seul dans l'hyperespace.

Installation dans la vitrine du Simons du vieux Québec.

Différents Degrés - S4DP+ / Phase 1 (2016)

Dans le contexte d'une exposition intitulée Différents Degrés en duo avec Marie-Claude Drolet, j'ai eu l'opportunité de présenter la première phase du S4DP+ - Programme de découverte spatiale pour ceux qui mélangent les chiffres et la poésie.  J'y explore les perceptions alternatives de notre monde en faisant se rencontrer les mondes de la physique, de la poésie et de la narration fictionnelle. Réflexions sur la 4eme dimension, sur la projection des dimensions à l'échelle n-1 (nD objects) j'explore le décalage entre la réalité physique et la perception que nous en avons pour mettre de l'avant un nouvel ensemble des possibles.

Le S4DP+ est un projet a multiples facettes qui se veut ouvert à un nombre de propositions multiples qui aborderont, entre autres, des problématiques comme la surpopulation (Les Loups ont peur des ânes et autres problématiques reliées à la cohabitation sur une arche spatiale), les objets sui generis, i.e. de leur nature propre dans le temps et dans l'espace (Objets synchroniques), et une allégorie contemporaine aux allures d'une nouvelle de science-fiction (Dürer, l'enfant et son chien).

Donc voici le premier volet, qui aux côtés des œuvres de Marie-Claude Drolet, a été présenté à la salle d'exposition Alphonse-Desjardins de l'Université Laval en juin 2016.

An Imaginative walking: a narrative territory

avec Julie Kientz (artiste photographe invitée)

 

Personne ne pose jamais de question à propos de Jacob A. Martin. C’est un homme effacé. Un oublié. Il passe ses journées à travailler seul au sanctuaire des archives : le niveau -2. Aucune fenêtre, aucun collègue et, d’ailleurs, aucunes archives. Depuis l’informatisation des données, les archives sont montées au 5e étage à côté des bureaux de la direction. Jacob, lui, n’a pas grimpé le moindre étage, il est resté au même niveau de réussite sociale : le sous-sol. Réaménagé en entrepôt, Jacob y gère désormais les objets perdus. Jamais il n’aurait pensé garder son emploi au sein de la compagnie. En guise de récompense pour son manque d’ambition, on lui avait confié la tâche la plus excitante qu’il n’eut la chance d’effectuer : recevoir, examiner, nommer, classer, inventorier et ranger les objets orphelins rapportés au siège de la compagnie de transports de New York City. Jacob vit par substitution son rêve d’antiquaire : raconter l’histoire d’objets oubliés.

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Foire en Art Actuel de Québec (2015)
 

Oeil de Poisson, Québec. Aux côtés de Jean-Robert Drouillard, Emilie Proulx, Martin Bureau, Mathieu Valade, Charles-Frédéric Ouellet, Rober Racine, Jean-Jules Soucy, Catherine McInnis...

 

 

 

Et vous l'existence? (2015)
 

Duo présenté avec Marie -Claude Drolet à la Clarté-Dieu.

Exposition de tableaux et de dessins. 

 

 

 

The Age of Innocence (2014)
 

Corpus de trois sculptures aux apparences enfantines, The Age of Innocence s'inscrit au coeur de mes réflexions sur notre rapport au passé. J'y aborde des thématiques telles que la révolution chinoise, la déportation ou encore l'enfance mélancolique.

 

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L'Âge d'or et toutes ces conneries du passé (2015)
 

L'Âge d'or et toutes ces conneries du passé  fut présentée à Espace )( Parenthèses et s'inscrit dans la continuité de The Age of Innocence. Critique de notre méconnaissance de l'histoire, du manque de questionnement à propos de celle-ci et des différentes réappropriation qu'on peut en faire, les sept sculptures présentées entrent en intéraction pour créer un univers narratif autour de la question du passé et de ce qui l'en reste.

Avec un regard posé particulièrement sur la culture américaine, ce sont des souvenirs de guerre, des produits marketing ou encore des objets de divertissement qui se cotoient pour créer un ensemble satirique.

 

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The Age of Wisdom (2014)
 

Ces dessins sont inspirés de faits historiques. Ils révèlent la lucidité d’un enfant et sa sensibilité qui dépassent souvent les filtres d’acceptation de l’information du monde adulte.

 

Ce corpus de dessins constitue une phase de régression créatrice. En quête d'un état sensoriel brut, ces dessins sont le résultat d'un ré-investissement corporel libéré des questionnements premiers de faire une oeuvre d'art.

 

The Age of Wisdom fait partie de l'exposition The Age Of Innocence.

The Age of Foolishness (2014)


Fragments de réminiscence, objets altérés par une perception enfantine, incomplets et décontextualisés, ces objets proustiens veulent évoquer un souvenir, réel ou fantasmé, d'une enfance. Questionnant la réalité du passé, les tableaux s'offrent comme étant des points d'ancrage à notre mémoire ou notre imagination. 

 

The Age of Foolishness fait partie de l'exposition The Age Of Innocence.

 

The  Golden Age (2014-2015)


Cette série de tableaux évoquent le complexe de l'age d'or et de l'idéalisation excessive du passé. Sans unité réelle, cette suite de tableaux consistue le fil conducteur de mes recherches dans l'Histoire. C'est une réappropriation de personnages d'époques diverses teintée d'une humeur résolument ancrée dans le moment présent.

 

The Great Leveler (2013)

 

Toute matière est porteuse d’information, d’une mémoire. The Great Leveler aborde la question de cette matière qui, en perdant son substrat, emporte avec elle des repères collectifs et historiques. Inévitable évolution de la poussière qui retourne à son état initial, il ne reste que des signes et des symboles, bien souvent vides de sens.

 

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Inbox Gallery (2012)
 

Inbox Gallery est avant tout un projet artistique visant à créer une immersion visuelle.

Inbox Gallery souhaite promouvoir les genres, les disciplines et l’art multidisciplinaire.

Inbox Gallery est un prétexte pour présenter des artistes, créer des rencontres stimulantes et offrir une plateforme originale de visibilité aux artistes/artisans.

Inbox Gallery, c’est aussi un site internet où l’artiste est représenté en tant que membre du projet (démarche artistique, biographie, hyperliens vers son site et quelques photos de ses réalisations pour Inbox Gallery).

Inbox Gallery propose des œuvres uniques et collectionnables.

 

Les Intrigues (2012)

 

Scènes énigmatiques où la narration conserve une part d'ambiguité et invite le spectateur à s'imaginer ce qui n'est pas représenté. Le format, pensé comme une lentille de Judas, participe au jeu d'intrigues. 

 

Autoportrait de Julien Lebargy (2011)

 

Suite à la série de tableaux Once Upon A Time In The West, ce diptyque peinture/sculpture reprend les codes du western. Face à face, cette confrontation met en scène un moi fantasmé face à mes yeux dont le cadrage rappelle à bien des égards ceux des films de Leone.

 

Once Upon A time in the West - Hommage à Sergio Leone. (2011)


La série Once Upon A Time In The West consiste à capter, recadrer puis retravailler une image du film ensuite transférée, puis partiellement pyrogravée en pointillisme. Le traitement de l’image met en exergue un détail qui, outre l’effet plastique, sert de prétexte à une lecture contemporaine de l’œuvre de Leone. 

Cette série fut présentée lors de la sixième édition du Salon Nouveau Genre.

 

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